Benoît XVI évoque souvent dans ses discours la maladie et la condition
du malade. En union avec les souffrances du Christ, la douleur humaine "
se fond avec l'amour rédempteur et devient une force contre le mal dans
le monde ". Seule l'ouverture au mystère de Dieu qui, dans la maladie,
vient visiter l'homme de manière insondable, et l'abandon confiant à sa
volonté, peuvent rendre au malade la paix qu'il cherche ; cette paix
trouve son fondement dans la certitude de l'amour de Dieu qui veut
toujours le bien de sa créature et ne se sépare jamais d'elle : " "Sois
sans crainte, je suis toujours avec toi." Nous pouvons tomber, mais à la
fin, nous tombons entre les mains de Dieu et les mains de Dieu sont de
bonnes mains ".
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